samedi 25 février 2017

La peau la façade de notre être intérieur






Introduction


C’est en lisant un article sur les tatouages, qu’il m’est venu la curiosité d’analyser l’ensemble des facteurs qui vont modifier la peau.
Tout d’abord, le sujet concerné est la peau, avec tous ses éléments structurels, physiologiques, énergétiques, et enfin la psychologie de l’individu et la psychologie sociale.
Alors, la question, que je me suis posée, c’était :
Qu’est ce qui fait que ma peau a toutes ces fonctions ?
Comment ça marche ?
Qu’est ce qui fait que de plus en plus d’individus dans la société occidentale et moderne, ont le besoin de recourir à une marque, un mot, un graphique sur leur peau, un code, une expression ?
Qu’est-ce qu’il se passe dans une séance de tatouage ?
Quelle est la procédure avant, pendant, après ?
Il y a-t-il des effets secondaires à se faire tatouer ? Qu’est ce qui se passe dans le temps ?
Pour qui ? Il y a-t-il des contre-indications de se faire tatouer ?
Qu’est-ce qu’il veut exactement le tatoué ?
Comment font- ils pour supporter une inscription sur leur peau jusqu’à la fin de leur vie, quand on change de vêtement plusieurs fois par jour, plusieurs fois par semaines ?
Qu’est ce qui fait de prendre la décision de se tatouer ? Est-ce un effet de l’environnement ? D’un comportement ? De valeur / de croyances ? Un facteur identitaire ? Un facteur spirituel ?
Qu’est-ce qu’il y a dans leur message interne, retrouver une estime de soi, une confiance en soi, de savoir qu’ils y sont ?
Est-ce un acte individuel ? Ou un acte d’appartenance ? Un effet de mode ?
Beaucoup de questions mais peut-être que les tatoués eux ils savent et comment ils le savent ?
Et puis, j’ai regardé ma peau. Et c’est comme si elle me parlait et alors comme des diapositives lors d’une conférence, des réponses se succédaient. Je vous invite à le faire et à suivre le défilement des diapositives.
La peau est plus qu’une enveloppe tissulaire et cellulaire. La peau est le principal organe de notre corps. La peau est le bouclier entre la conscience externe et la conscience interne. La peau délimite l’état interne et l’état externe, la peau est notre vêtement unique, un habit à température variable, colorée, la peau est un système spécifique du langage non verbal, la peau communique avec le monde extérieur et le monde intérieur. La peau a son système nerveux cutané. La peau agit sur notre système énergétique à plusieurs niveaux de champ énergétique et vibratoire. La peau est organe. La peau est un système sensoriel intelligent. La peau est un bouclier protecteur contre les agressions des agents externes. La peau est un organe régulateur de la température du corps et hydrateur. La peau est un lanceur d’alerte, un organe préventif et un messager transmetteur/récepteur. La peau est un miroir de nos émotions positives ou négatives, physique ou psychique.
La peau cette enveloppe aux multifonctions. Une chaire que l’on aime toucher, masser, diffuseur de sens, d’amour et de haine, une peau que l’on agresse dans son état interne et son état externe, une peau qui flétrie avec l’âge, douce, rugueuse, sèche, perfection et imperfection, séductrice qui se laisse parfumer pour un rendez-vous galant.
Une peau avec des nano pores où on aimerait avoir un œil microscopique pour l’étudier, une peau qui est l’interface d’un univers abstrait à l’intérieur de nous et qui cache des secrets de notre spiritualité (rien à voir avec une religion) ; l’océan d’une vie enveloppé d’une atmosphère, comme la terre et ses poumons amazoniens. Elastique, la peau qui s’adapte à notre corpulence, à nos muscles qui se développent et qui fondent, à notre sédentarité ou à notre activité, à notre prise de poids ou à notre perte de poids, la peau qui est un contact avec le monde, ce fabuleux organe qui est le gardien du seuil.
Une peau aussi muqueuse, lubrifiante, cellulaire et nerveuse.
La peau est nourricière elle fabrique des vitamines, notamment la vitamine D. La peau joue un rôle respiratoire, immunitaire, émonctoire. La peau est sensorielle et sexuelle. La peau véhicule les actes thérapeutiques nécessaires aux pathologies internes, les blessures musculaires, articulaires etc. etc.
La peau est l’histoire de notre génétique donc de notre ADN. Elle révèle ce qui est, ce qui est caché.
La première image à notre naissance, que les personnes visualisent est notre peau. Elle révèle le petit être qui se présente au monde et qui par sa croissance va s’étendre et prendra la forme de notre corps. Et, elle va subir tous les aléas de la vie, jusqu’à la fin de cette incarnation.
La peau est un organe vivant, qui a besoin de tendresse, la peau a besoin d’une attention particulière et d’une hygiène corporelle, alimentaire, nutritive et d’oxygène.
Cette peau me fait penser à une feuille d’une plante grasse, sèche, mixte ; avec des veines apparentes d’autres pas, imperméable et à la fois sensible.
Chair de poule, frissons et …. Froide, tiède, chaude, au fil de nos états, et puis lorsque tout sera arrêté, elle sera momifiée, laissant un bloc de glace à la place d’une enveloppe souple et tempérée.
Et de quoi elle est faite cette peau ?

La peau

  1. 1.     Un système tégumentaire

Le système tégumentaire est le nom donné à la peau, aux cheveux, aux ongles et aux glandes situées à la surface du corps. Il est constitué aussi des orifices : des yeux, des oreilles, du nez et de la bouche, qui font tous partie des organes sensoriels de l’organisme.
  1. 2.     Structures
De l’extérieur vers l’intérieur :
  1. A.    L’épiderme
Il est composé de différentes sortes de cellules :
  1. Les kératinocytes qui fabriquent la kératine (protéine donnant aux cellules des propriétés protectrices).
  2. Les mélanocytes fabriquent un pigment, la mélanine. Ces cellules se situent plus profondément dans l’épiderme, mais reste en contact avec les kératinocytes qui intègrent progressivement la mélanine fabriquée par les mélanocytes. Les pigments de mélanine ainsi absorbés protègent les noyaux des cellules contre les rayons U.V. du soleil.
  3. Les cellules de Langerhans sont des cellules qui comportent une douzaine de dendrites formant un réseau entourant les kératinocytes. Elles servent d’immunité en contrôlant la présence d’antigènes et sont capables de se déplacer.
  4. Les épithélioïdocytes, jouent un rôle dans le toucher. Elles sont situées à la jonction entre l’épiderme et le derme.
L’épiderme est lui-même constitué de plusieurs couches de la superficie à la profondeur:
  1. La couche cornée, composée d’environ une vingtaine de couches de cellules mortes.
Cette partie de l’épiderme protège la peau contre les agressions extérieures (chaleur, froid, sécheresse, déshydratation : perte d’eau). Elle agit également comme barrière empêchant la pénétration dans l’organisme d’éléments extérieurs (microbes, poussières, etc…).
Cette couche de cellules kératinisées desquame progressivement au fur et à mesure que ses cellules se détachent de l’épithélium plus profond (pellicules).
  1. La couche granuleuse, constituée de seulement 5 étages de cellules. La couche granuleuse évite essentiellement à l’organisme de se déshydrater (perte d’eau), mais participe également à la formation des futures cellules de la couche cornée située au-dessus.
  2. La couche épineuse, composée de cellules contenant de la mélanine dispersée dans les kératinocytes : cet étage de l’épiderme constitue un début de résistance aux mouvements de la peau.
La couche basale, dernière couche avant le derme, également appelée couche germinative, est constituée d’une seule couche de cellules fermement adhérentes aux cellules situées dans le derme. A ce niveau se rencontrent les kératinocytes les plus jeunes.
B.    Le Derme
Le derme est l’une des trois couches de la peau. Il est situé entre l’épiderme au-dessus et l’hypoderme. Le derme est constitué de tissu conjonctif (structure gélatineuse assemblant des protéines et servant de liaison et de soutien entre les différents tissus et organes) comportant des :
  1. Fibroblastes : cellules permettant la création d’éléments entrant dans la constitution des fibres qui vont se regrouper autour d’elles.
Plusieurs variétés de globules blancs assurant la défense de cette partie de la peau.
  1. Collagène qui donne à la peau la résistance et l’élasticité nécessaires pour la protéger contre les agressions extérieures. Les fibres de collagène sont capables de fixer l’eau et contribuent ainsi à l’hydratation de la peau.
  2. c.     Fibres élastiques.
Substance fondamentale composée d’eau et de protéines.
  1. a.     Cellules conjonctives et fibres conjonctives.
Le Derme lui-même est composé de deux couches:
  1. La mince couche en superficie permettant le passage de nombreux vaisseaux sanguins et de fibres nerveuse appelé zone papillaire
La zone réticulaire, plus profonde, qui occupe environ 80 % du derme, formée de fibres de collagène assemblée parallèles à la surface de la peau.
Cette zone présente des lignes de tension appelées lignes de Langer, qui revêtent une grande importance pour les chirurgiens.
C. L’Hypoderme est la couche profonde de la peau, continuant le derme vers la profondeur. Il sert d’interface entre le derme et les structures mobiles situées en dessous de lui comme les muscles et les tendons.
Il protège également l’organisme des chocs physiques, des variations de température et sert de réserve énergétique. Il a une épaisseur variable selon les localisations; elle est mince au front et épaisse au niveau des zones devant supporter.

Première conclusion

La peau est constituée de trois couches : l’hypoderme, la couche la plus profonde, le derme, la couche intermédiaire, et enfin l’épiderme, la couche la plus superficielle.
L’épiderme, très fin, mais plus épais dans divers endroits du corps. Cette couche est très résistante comme sous la voute plantaire.
Un bouclier qui repousse l’entrée de la plupart des bactéries, substances chimiques et toxiques, et a une fonction isolante pour que les liquides vitaux ne s’échappent : le sang, la lymphe par exemple.
L’épiderme est constitué principalement de kératinocytes : véritables gardiennes de l’épiderme.
Puis, entre les kératinocytes il y a les cellules de langer, qui vont détruire les substances toxiques et chimiques qui se trouvent dans le derme.
Le derme a peu de cellules mais il contient des fibres. Des fibres collagènes et des fibres élastines, Les fibres de collagènes vont s’occuper de la résistance de la peau et les fibres d’élastine, tout comme son nom l’indique de l’élasticité de la peau.
On y trouve de nombreuses particules, qui pour la plupart d’entre elles sont liées dans le sens du toucher : la température, la pression, la douleur etc.
L’hypoderme, est une masse d’un tissu graisseux qui se trouve un tissu celluleux, c’est là que circulent les fibres nerveuses et les vaisseaux sanguins. Qui vont oxygéner la peau et la nourrir.
Cette masse graisseuse est aussi un réservoir d’énergie de l’organisme.
C’est un amortisseur de choc et aussi une protection contre le froid.
Processus de maturation et de différenciation des kératinocytes:
Les kératinocytes sont formés au plus profond de l’épiderme, dans la couche basale, située au-dessus de la lame basale.
La couche basale est constituée principalement de cellules non différenciées.
Certain kératinocytes se divisent alors en deux par mitose ;
l’un va rester dans la couche basale pour donner naissance à d’autres kératinocytes, et l’autre va se déplacer vers la surface de l’épiderme, en poussant les kératinocytes plus anciens.
Au cours de la remontée des kératinocytes vers la surface de l’épiderme, ceux-ci changent de forme, perdent leur noyau et se chargent de filaments très résistants de kératine. Ils traversent tour à tour la couche basale (d’où ils proviennent), la couche épineuse, la couche granuleuse et enfin la couche cornée.
Au bout de 30 jours environ, les kératinocytes atteignent la couche cornée. Il s’agit d’une peau dure, composée de kératinocytes morts qui forment une membrane solide (grâce à la kératine), imperméable et très protectrice. Une fois à la surface, les cellules se décollent et tombent, en emportant les éventuels microbes et substances étrangères avec elles
Le processus de desquamation
C’est l’apoptose : une programmation de la mort cellulaire
Ce processus intervient dans les phases de cicatrisation.
Selon le niveau de la blessure, par exemple, les petites blessures de premier degré guérissent par le renouvellement naturel de l’épiderme.
Ce qui n’est pas le cas pour les autres types de blessures.
J’aborderai dans le prochain article les différentes blessures de la peau et quelles sont les réactions spécifiques.
Rendez vous au prochain article, nous aborderons le système de cicatrisation et le système nerveux cutané et sa relation avec le cerveau.


portez vous bien !
©Franca Gagliardi

mardi 21 février 2017

Le Plaisir Alimentaire – La Convivialité




La convivialité
Le Littré de 1880 le mot convivialité serait de Brillat Savarin (dans sa Physiologie du goût, parue en 1825) et désignerait
«Le goût des réunions joyeuses et des festins, le plaisir de vivre ensemble »,
L’expression d’un art de vivre national qui évoque la mémoire des belles tables festives, les repas familiaux, des clichés de notre enfance, des échanges, des sons de verres, de fourchettes, un met croustillant,  de boissons versées, le goût, l’odeur, le partage, la chaleur et l’amitié.
Quelle est donc l’importance du plaisir ?
BVA Opinion (avril 2006) 
« près des deux tiers des Français jugent que l’alimentation doit avant tout être un plaisir, plutôt qu’un moyen de prévenir les problèmes de santé »
Convivialité et commensalité
Qu’est-ce que la commensalité ?
Étymologiquement le fait de partager la même table (mensa).
Le sociologue allemand Simmel, montre dans sa « Sociologie du repas » que le repas commensal présente un caractère unique car il résout et transcende symboliquement cette question du partage : dans la symbolique de la communion, Simmel insiste en outre sur deux dimensions de la commensalité : celle de l’espace, délimité par la table autour de laquelle s’assemblent les participants, et celle du temps.
Cette dimension apparaît clairement, dit Simmel, dans la langue allemande : là où, en français, nous dirions « bon appétit », on dit en allemand « Mahlzeit » – littéralement “le temps du repas”.
Les individus dans le monde,  considèrent que partager les aliments, rapproche ou unit. Manger la même nourriture, il est évident que partager une nourriture commune, ne veut pas dire la consommer.
Pour considérer la question du plaisir collectivement partagé, l’alimentation offre l’exemple privilégié de la commensalité
Il y a dans le repas une dimension temporelle double : il s’agit d’un moment particulier, identifié et balisé ; mais il implique aussi une récursivité régulière puisqu’il s’inscrit dans un cycle répétitif régulier. Des personnes, un lieu et un temps spécifiques : c’est cela qui constitue la commensalité et pas seulement le fait d’être ensemble.
Dans les formes privées, quotidiennes ou festives, il y a certainement une place pour des formes de plaisir commensal. Ces formes de commensalité sont littéralement conviviales : elles rapprochent, rassemblent, favorisent la communication et l’échange.
Il se trouve que la commensalité conviviale, c’est-à-dire celle qui marque, permet, favorise la proximité chaleureuse, est aujourd’hui un thème particulièrement vivace et revendiqué dans beaucoup de foyers.
Pour illustrer cette thématique, une journée à la campagne dans la famille par exemple, on peut constater alors que le mode de vie des paysans n’est pas le même que celui du citadin. Ici, les gens prennent leur temps, vivent le moment présent. Et ils sont en parfaite communion avec la nature. Ils ne s’affolent point, sur la préparation d’un repas, ils partagent à la bonne franquette.
Pour ces gens, ils prennent le temps de cuisiner, et vous offre ce qu’ils ont. Cela peut être, une petite salade relevée d’une bonne vinaigrette maison accompagnée d’une omelette, un bon fromage et des fruits de saison. On trinque avec un petit verre de rouge pour couronner ce festin. Un temps de partage, assis autour d’une table, sans aucuns phénomènes externes telle que la télévision, la radio, le téléphone. Personne ne quitte la table, un respect de ce moment convivial.
Rare aujourd’hui, dans les villes d’avoir ce genre de plaisir de convivialité, chacun mange de son côté, devant un plateau télévision, iPhone, tablette etc. font partie de la prise de repas. Ce moment est un temps de souffrance, de douleur, le  contraire du plaisir, on mange pour se nourrir et on n’apprécie plus ce moment de partage en famille. Mais sait-on ce que l’on mange ? Sommes-nous conscients de ce que nous avalons ? Est-ce un acte qui est devenu machinale ?
Conclusion
Trois facteurs sont importants
Le temps, la commensalité, la santé
On peut constater que :
L’environnement, le spatial, le temps la commensalité sont des facteurs importants dans notre santé mental, émotionnel, et physiologique.
Il serait opportun de restaurer la conscience d’une bonne hygiène de vie, prendre du plaisir, prendre le temps de cuisiner, s’asseoir, de savourer, dans la paix sans être perturber par des événements extérieurs qui troublent nos dons sensoriels – Visuel, auditif (croquer dans une pomme), gustatif, kinesthésique, d’odorat, nos états internes et notre processus neuro digestif. Donc la santé par un changement de comportement alimentaire, temporel.
LA FAIM ET LA SATIÉTÉ = RÉCOMPENSE
La faim est un signal envoyé par notre cerveau, manger est un besoin vital. La satiété est un signal qui nous indique que nous n’avons plus faim.
La faim est l’urgence nutritive, c’est comme si les batteries commencent à se décharger, il va falloir rechercher les batteries par l’énergie des valeurs nutritives. La fonction alimentaire humaine aura une triple finalité. Celle d’une fonction nutritive, une fonction hédonique et une fonction symbolique qui sera liée à une estime de soi, de reconnaissance et une récompense que l’on retrouve dans la satiété et le plaisir gustative.
Il est important de manger à heure régulière et anticiper sur le signal de la faim, afin de ne pas infliger une souffrance à son corps.
Cette symbolique nous pouvons la retrouver dans nos mémoires d’enfant, par des fêtes en famille lors d’anniversaire par exemple ; des règles familiales et culturelles que chacun a hérité par son appartenance.
L’aliment n’est rien sans l’individu, c’est l’individu créant l’action de manger qui apporte à son corps le besoin vital, il va le faire par ses états sensoriels, dans un comportement qu’il aura hérité lors qu’il était un bébé et d’où sa mère lui aura appris à se nourrir et par la suite développer ses qualités gustatives. Celui-ci apprendra à réguler sa satiété et récompenser son corps. Puis au cours des années, il aura appris par des fêtes de famille, ce qu’est l’estime de soi, la confiance en soi, se récompenser et les valeurs de la commensalité. Prendre le temps de s’asseoir, déguster et savourer un moment de cordialité. Il en va de même pour une personne seule, cela devient un rituel hédonique. En adoptant ce modèle nous pouvons constater que nous maîtrisons, contrôlons, régulons nos fonctions physiologiques, mentales, émotionnelles et qui sont les facteurs d’une bonne santé et évitons bien des problèmes liés aux troubles du comportement alimentaires et des souffrances.
Portez vous bien !
©Franca Gagliardi





samedi 18 février 2017

Neurobiologie et éducation







Conférence du neurobiologiste Prof. Dr. Gerald Hüther
Dans le cadre de la zweite Konferenz des Denkwerks Zukunft
Berlin, 15 janvier 2011.
Présentée par l'Institut Arno Stern et le mouvement "écologie de l'éducation".
Neurobiologiste allemand de premier plan, le Pr. Gerald Hüther dirige le département de recherche fondamentale de neurobiologie du Centre Hospitalier Universitaire psychiatrique de l'université de Göttingen et le centre de recherche préventive de neurobiologie de l'université de Göttingen et Mannheim/Heidelberg. Il est l'auteur de plusieurs livres sur le sujet.

Pourquoi est-il si difficile de se débarrasser des schémas incrustés dans nos fonctionnements ?

On ne vient pourtant pas au monde avec cet état d’esprit.
Il y a une étude extraordinaire qui nous ouvre les yeux.
Elle démontre que beaucoup de nos schémas de pensée sont transmis alors que nous ne sommes pas même conscients de cette transmission.
Cette étude montre qu’à six mois, un enfant est déjà en mesure d’observer une petite scène, avec une colline au pied de laquelle arrive un bonhomme jaune, comme dans un dessin animé qui veut escalader cette colline, il glisse et recule plusieurs fois, et n’arrive à grande peine au sommet.

Le bébé de six mois assiste à la scène et n’en perds pas une miette.

Fin de la première séquence.

Deuxième séquence : de nouveau la colline, de nouveau le bonhomme jaune, qui cherche à escalader la pente, et là apparaît un bonhomme vert qui l’aide, en se plaçant derrière lui pour le pousser jusqu’en haut.

Fin de la deuxième séquence.

Le bébé ne s’impatiente pas et observe aussi la troisième séquence.
A nouveau le bonhomme jaune, qui tente à nouveau de grimper sur la colline. Mais cette fois apparaît en haut un bonhomme bleu, qui le repousse tout en bas.

Le bébé observe cela également

Juste après, on place chacun des bébés qui ont regardé ces présentations à une table.
Où on leur présente le bonhomme vert le bonhomme bleu qu’ils viennent de voir en action.
Et on observe lequel des deux le bébé va prendre.

Vous vous en doutez, les bébés de cet âge ne prennent pas ce qui ne leur plaît pas.
Tous les enfants tous les bébés de six mois, après avoir vu ces trois scènes, prennent le bonhomme vert, celui qui aide.

Aucun d’entre nous ne vient au monde en consumériste, ou en égocentrique brutal et sans égards.
Cet état d’esprit est donc une chose qui s’acquiert avec le temps. Eh oui, cela s’installe …
Et la bonne nouvelle pour tous ceux d’entre vous qui sont éducateurs ou parents, c’est que cela se met en place bien plus tôt que nous ne le pensions jusqu’à présent.

On peut répéter cette même expérience avec les mêmes enfants, six mois plus tard, quand ils ont un an.

A nouveau les trois séquences, puis le bonhomme vert et le bonhomme bleu …
Et tout à coup, 10 à 20 % des enfants d’un an prennent le bonhomme bleu, celui qui repousse l’autre.
Alors se pose la question : à ces enfants, qui ne parlent pas encore, qui a bien pu leur apprendre ça ?
Et c’est là que vous comprenez ce que signifie la pensée systémique.

C’est là que vous voyez ce qui refrène nos découvertes et nos pensées.

Ces enfants n’ont fait qu’observer.

Dans le système familial dans lequel ils grandissent se trouve quelqu’un qui arrive brillamment à ses fins, à l’intérieur du système familial, aux dépens des autres.

Et vous ne pensez pas sérieusement que, pour un si petit enfant, il serait sensé,
Qu’il serait biologiquement sensé de prendre exemple sur celui qui ne fait pas ça ?

Les enfants prennent exemple sur ceux qui réussissent.

Donc, les enfants deviennent comme nous.

C’est la première bonne nouvelle !

Deuxième bonne nouvelle : les enfants naissent avec une ouverture d’esprit incroyable, avec un cerveau qui met à disposition d’innombrables connexions, parce que justement, il n’y a aucun programme génétique qui puisse savoir à l’avance comment un cerveau humain sera utilisé.
Parce que les programmes génétiques ne peuvent pas savoir si tel enfant va venir au monde au Moyen âge

-       Les programmes génétiques étaient alors les mêmes

-       Où l’enfant va naître il y a cent mille ans, quand ou si cet enfant va naître de nos jours Esquimau, au cercle polaire, ou Indien d’Amazonie, au Brésil, ou encore petit Chinois en Chine …tout ça, les programmes génétiques ne le savent pas.

Et c’est pour ça qu’ils nous équipent – c’est une découverte évolutionniste majeure – d’un cerveau avec lequel tout peut se faire.

Trop, oui, trop de cellules nerveuses au début, vous en avez tous possédé un tiers de plus dans votre cerveau qu’il ne vous en reste aujourd’hui.

C’était avant la naissance, à l’époque, les programmes génétiques avaient fait une surestimation de ce qu’il faut à un bon cerveau humain.

Nous sommes donc envoyés dans le monde avec du surplus.

De même pour les connexions neuronales, beaucoup, beaucoup trop, au début elles sont simplement mises à disposition, cela commence à l’arrière, dans le tronc cérébral, puis séquentiellement, dans les diverses régions et, je vous le souhaite, jusqu’au cortex frontal, où là, ça ne s’arrête plus.

Là, elles sont toujours disponibles, et l’on serait capable, sa vie durant, de penser et de sentir différemment, si seulement on avait une bonne raison, une raison assez forte.

Et nous voilà arrivés à un autre point :

Tous les enfants font, au début de leur vie, et même avant la naissance, deux expériences majeures – vous les avez tous faites aussi, qui sont totalement banales, tant qu’un enfant grandit dans le ventre d’une mère.

Il éprouve la croissance d’une part, et, d’autre part, le lien.

Ce sont les deux expériences de bases faites par chaque être humain.

A partir de ces expériences majeures donc, de l’expérience fondamentale de la croissance, quelque chose s’ancre dans le cerveau, pour ainsi dire, l’expérience s’ancre dans le cerveau, et là où se trouve aussi ce qu’on appelle le « système de la curiosité », qui utilise certains transmetteurs, tels la dopamine, et ce système – qui se forme lui-même en fonction des expériences intra utérines, ce système fait que lorsqu’un enfant vient au monde, il y arrive avec l’espoir qu’il y aura, dehors, quelque chose à découvrir et quelque chose à faire.

Il veut grandir, il veut montrer qu’il sait faire des choses, trouver des choses à faire qui le feront grandir, il veut devenir autonome, et libre aussi.

Voilà ! Quant à l’autre grande expérience prénatale, celle du lien, elle aussi se vit puis s’ancre profondément dans le cerveau, pour ça aussi il y a un système, nommé « système de l’attachement », qui travaille avec d’autres transmetteurs comme l’ocytocine, la prolactine, et ce système se forme, lui aussi, en fonction des expériences prénatales, et chaque enfant vient alors au monde avec l’espoir que, dehors, il sera, d’une manière ou d’une autre, bienvenu, qu’il trouvera quelqu’un qui le prendra dans ses bras, qui lui offrira proximité et sécurité.

Alors, ces enfants vont dans le vaste monde, et font des expériences, les expériences les plus importantes sont toujours celles qui ont lieu quand il est possible de combiner ces deux expériences primitives.

On se souvient que ça marchait à l’époque !

Pendant au moins 9 mois, on a pu vivre en même temps le lien et la croissance.
Alors on se retrouve dehors, et ce qu’on est ne convient pas tout à fait à la maman, ou au papa, ou à quelqu’un d’autre …

On n’est pas accueilli tel que l’on est, des adultes se mettent à vous éduquer de partout,
 Parce qu’ils voudraient qu’on soit comme eux, ou comme ce qu’ils auraient  aimé être ou devenir.
Mais on peut aussi être, en quelque sorte, écrasé par ce que j’aime appeler l’amour grappin, qui nous empêche de vivre notre besoin de croissance, et on se noie, en quelque sorte, dans le pot de miel de l’attachement.

Situations aussi catastrophiques l’une que l’autre.

Dans les deux cas – on le sait à présent, dans le cerveau, ce sont les mêmes réseaux neuronaux qui sont activés, quand on vit cela, les mêmes circuits neuronaux s’activent quand on nous inflige des souffrances corporelles.

Autrement dit, notre cerveau réagit de la même manière lorsque nous sommes exclus d’une communauté que lorsqu’il repère un dérangement dans notre relation avec notre corps.

Quand ça ne va pas dans le corps, ça fait mal,
Quand ça ne va pas dans notre relation avec l’autre, ça fait mal aussi.

Le même système, dans les deux cas, ça fait mal, et il nous faut une solution, et voilà nos tout – petits déjà contraints de trouver une solution bizarre, et si les adultes ne leur montrent pas à quoi pourraient ressembler ces solutions – nous pourrons discuter un peu plus tard de ce à quoi elles devraient ressembler, si nous le leur montrons pas – probablement parce que nous l’ignorons nous-mêmes, à quoi pourrait ressembler une solution pour être à la fois lié et libre, eh bien, alors, ils souffrent …
Et comme il est insoutenable de souffrir tout le temps, nous avons besoin dès notre plus jeune âge – et plus tard en tant qu’adulte, à chaque fois que nous ne pouvons pas recevoir ce dont nous avons besoin, de trouver quelque chose qui nous permette de le supporter.

Quand on ne reçoit pas ce dont on a besoin, on prend ce qu’on arrive à prendre.

Et à chaque fois qu’on y arrive, on en est un peu contenté.

Et cela active dans le cerveau ce que les neuroscientifiques appellent le centre de gratification.
A chaque fois qu’on s’enthousiasme pour quelque chose, et sur ce quoi on s’enthousiasme importe peu au cerveau, il y a ce qu’on appelle des transmetteurs neuro plastiques qui se déversent, et ces transmetteurs neuroplastiques sont comme l’engrais pour le cerveau, mais ces neurotransmetteurs, lorsqu’on nous fait apprendre l’annuaire par cœur, ou bien … lorsque l’on subit les conseils de gens avisés … ils ne sont pas déversés.

Ces transmetteurs neuroplastiques ne déversent que lorsque les centres émotionnels sont activés dans le cerveau, il faut que quelque chose vous prenne aux tripes, il faut que quelque chose vous soit particulièrement important...

Important, par exemple, parce qu’il vous faut absolument, parce que vous souffrez, il vous faut un succédané, qui ramènera le calme dans votre cerveau.

Ces neurotransmetteurs savent faire une chose géniale, ils amènent les cellules nerveuses qui sont en dessous, par le biais d’un processus, induit par les récepteurs, de transduction du signal, à initier une induction génétique …

Comme ça, vous entendez que moi aussi, je sais parler comme un scientifique …
Ce que cela veut dire en réalité, c’est que les neurotransmetteurs amènent les cellules nerveuses d’en dessous à produire des protéines, qu’elles ont, bien souvent, cessé de produire depuis longtemps, de ces protéines nécessaires pour construire de nouveaux filaments, établir de nouveaux contacts, pour rendre les réseaux neuronaux plus denses.

Et voilà qui éclaire merveilleusement comment, chaque fois que l’on s’enthousiasme pour quelque chose, un arrosoir déverse dans le cerveau cet engrais, ce « fertiliseur » qui fertilise le cerveau – mais seulement les zones que l’on utilise dans un état d’enthousiasme !

Nos jeunes ont, depuis dix ans, une région du cerveau qui reçoit tant d’engrais qu’elle a déjà doublé de taille :

Il s’agit de la région qui est chargée de la régulation des mouvements du pouce !
(C’est aussi une manière de donner aux enfants l’occasion de se préparer pour l’avenir …)
Ce dont vous vous doutez à présent – ou alors vous le savez déjà – c’est que cet enthousiasme, nécessaire pour qu’il y ait des changements dans le cerveau, on en peut l’avoir sur ordonnance, ni l’engendrer par de savantes conférences.

Non : il faut que les gens soient émus, touchés dans leur cœur, il faudrait, comme le dit Hermann Hesse, que l’on soit empoigné au cœur, pour que ça marche.

Si vous pensez au petit enfant de trois ans que vous avez été, vous savez qu’alors, 50 fois par jour – certains même 100 fois par jour, vous vous enthousiasmez pour quelque chose.

Pour chaque petit bout de fil qui dépasse là-dessous, un enfant de trois ans peut s’enthousiasmer pendant une demi-heure, l’arrosoir dans son cerveau est continuellement ouvert, l’engrais est répandu sans arrêt, et surtout, partout, car l’enfant s’enthousiasme pour tout – et pas seulement pour la télévision, espérons-le …

Et c’est ainsi que, pendant cette période, le cerveau reçoit tout le temps de l’engrais …

Et puis, nous envoyons ces enfants à l’école !

Je ne veux pas prolonger, mais vous êtes en mesure de retracer vous-mêmes ce qui est vous arrivé depuis …

Jusqu’où vous en êtes arrivés, ce qu’il en est aujourd’hui, et quand vous aurez mon âge, vous demanderez, vous aussi, à ceux qui vous entourent, ce que je fais moi-même, à quelle fréquence il leur arrive encore … de s’enthousiasmer – ce qui serait nécessaire, pour qu’on puisse penser autrement, pour que puisse se constituer, dans le cerveau, un nouveau schéma de connexions …
Pour certains, ça n’arrive qu’à Pâques et à Noël, pour d’autres plus du tout, depuis longtemps déjà.
Ce qui est intéressant, c’est que ce serait possible !

Un Berlinois de 85 ans peut tout à fait apprendre le chinois … à 85 ans, mais probablement pas à l’université populaire de Berlin.

Il faudrait plutôt qu’à nouveau … il s’enthousiasme, il faudrait que ça l’entraîne vraiment …
Il suffirait qu’il tombe tellement amoureux d’une jeune et jolie chinoise de 65 ans, que lorsqu'elle veut retourner en Chine centrale dans son petit village de Ching Fung, il y aille aussi.

Et voici le clou, le point culminant de cette petite session, de cette conférence :

Vous tous, vous tous qui êtes assis ici, savez que ce monsieur de 85 ans qui, dans son enthousiasme va en Chine avec cette femme, aura appris le chinois en six mois. A 85 ans.

On n’a donc aucun problème technique dans le cerveau si on ne peut plus apprendre le chinois à 85 ans, on a un problème d’enthousiasme, et ce qui est grave, c’est que nous le savons tous !

Nous devrions pouvoir nous enthousiasmer pour quelque chose de différent de ce que nous connaissions jusqu’ici, mais jusqu’ici, nous avons vécu tant d’expériences négatives !

Quand nous essayons de nous intégrer, quand nous cherchons des occasions de montrer que nous sommes capables, de devenirs libres et autonomes …

Ce faisant, nous avons vécu tant d’expériences négatives, nous constatons encore et toujours que ça ne marche pas, que c’est inconciliable …

Alors nous cherchons des satisfactions de substitution.

Et c’est ce que Juliet nous a admirablement présenté : le consumérisme.

Bien sûr, quand on ne reçoit pas ce dont on a besoin, on prend ce qui est proposé ici ou là.

Et il y a toute une industrie qui n’attend que ça, qu’il y ait autant de gens avec autant de besoins insatisfaits que possible, car ce sont eux qui entretiennent l’économie.


Ça veut dire qu’il nous faut des enfances qui rendent les enfants malheureux, il nous faut des enfances au cours desquelles les deux besoins de base des enfants ne sont pas satisfaits, car sinon, on n’aurait pas, à la fin, tous ces consommateurs qui achètent toute cette camelote dont personne n’a besoin, quand ça va bien.


dimanche 12 février 2017

Le morgellon une maladie inconnue






Le morgellon (Chemtrails)

Parasitose ou infestation délirante, dermopathie inexpliquée ou
encore maladie mentale…
Pourquoi pulvérisent-ils le monde ?
Nous sommes réellement dans la manipulation des nanoparticules,
qui agit sur la manipulation mentale et
là la PNL a toute son importance pour comprendre ce phénomène
De ce qui a été créé en laboratoire et dans les services de psychologie
après la deuxième guerre mondiale surtout au Canada (voir mon article à ce sujet ).
Certains ont appliqué un procédé à l'échelle de la population .
La maladie est bien réelle, elle est très invalidante .
Ses Symptômes :
  • Sensation d’insectes qui rampent sous la peau,
  • Plaies qui ne guérissent pas,
  • Douleurs articulaires,
  • Fatigues intenses,
  • Violentes démangeaisons,
  • Éruptions
  • Nodules durs sous la peau
  • Sensations d’une chose qui sort de la peau
L’élément important de cette maladie inconnue par les médecins et qui la voie irréelle
(ils ont tord). Le Professeur Citowski, biologiste, dit à propos de ces fibres:
« rien de connu par l’homme ».
C’est sur le plan neurologique. Elle attaque les neurones et le système nerveux .
Les médecins l’appellent la maladie délirante.
Les maladies ou problèmes psychologiques sont:
  • Les désordres de l’humeur,
  • Dépression
  • Désordre bipolaire,
  • Perturbation de la concentration
  • Perturbation de la mémoire
  • Brouillard de Cerveau
  • Des états de grande fatigue et de la confusion mentale, des troubles du sommeil,
  • une ultra sensibilité aux bruits et aux ondes électromagnétiques,
  • des chocs électriques, des tendances suicidaires,
  • parfois de la schizophrénie.
Cette description paraît sortir d'un roman de science fiction et cependant elle est bien réelle.

Les personnes qui en sont atteintes en souffrent cruellement.
Aux USA, plus de 60.000 cas sont recensés de morgellons. 
En Europe et dans les autres pays cette invasion se multiplie. 

Alors, on peut se poser la question:

Qu’en est il réellement de la maladie de Lyme?
La lyme ... une maladie transmise par les tiques nous dit on !
Est ce vraiment que ce vecteur de contamination dont nous explique
les services publiques?
Peut être , mais la maladie de Lyme serait elle une des conséquences
de cette contamination? est ce qu’elle serait un effet de Morgellon?
Je le crois!
Il en est de même alors pour la maladie d’Alzheimer puisque ces fibres intelligentes
inondent et tuent nos cellules.
Les malades atteints présentent des analyses qui, font ressortir de forts taux de métaux lourds dans le sang. Ces fibres sont aussi des métaux lourds. alors nous constatons que
la Sclérose en Plaques serait à l’origine des métaux lourds.
Cela se vérifie historiquement par les plombages des dents.
Posez vous la question.
Pourquoi les chirurgiens dentistes se revêtent d’une protection pour le déplombage?
On peut se poser la question aussi, pourquoi les vaccins sont la cause
de certaines maladies? Comme par exemple l’autisme.
Si nous remontons dans l’histoire, nous pouvons aussi constater les fibres de l’amiante!
Cancer, maladies incurables etc .
Mais, nous pouvons nous poser la question aussi sur la fibre optique, la wifi, etc
Le Morgellon
Cette maladie a un lien direct avec les chemtrails
La découverte de fibres retrouvées à l’intérieur du corps humain est troublante.
Ces fibres synthétiques sont intelligentes, on pourrait les comparer à
une cellule nerveuse.
Ces fibres fonctionnent de la même manière que notre système cellulaire nerveux.
Elles se connectent entre elles et se regroupent par couleur.
Lorsque, elles sont prélevées de la peau et isolées ,
elles en viennent même à s’envoyer dans un signal.
(nous sommes bien dans la physique quantique ,
la nano technologie -
tout comme expliqué par Greg Braden dans sa conférence “la divine matrice” ).
Des virus , des vers ces fibres que l’on retrouve dans les plantes
(Les plantes, d’après les études, en sont transformées génétiquement,
et les humains aussi), les végétaux, les animaux, l’eau
(peut être mais certain la pulvérisation pollue les nappes phréatiques, la terre, l’air).
On retrouve ces fibres dans l’alimentation. Ces fibres sont aussi retrouvées dans les abeilles qui meurent de façon inexpliquée.
Concernant les chemtrails, les physiciens ont remarqué que (je cite) :
« des traînées de type cirrus se forment à partir
des traînées de condensation des avions, puis par un effet de contamination
Le développement de fibres dans le corps avec de
multiples infections tant bactériennes que fongiques, virales
et parasitaires constituent une grave atteinte à la santé des individus.
Prendre officiellement au sérieux cette maladie revêt
une importance capitale pour notre santé à tous et pour ceux qui déjà en souffrent.
Puisque c’est considéré par la médecine d’un trouble parasitaire neuro psycologique,
il serait intéressant d’approfondir ces recherches dans les programmes de neuro linguistique, pourquoi pas l’hypnose.
Il existe quelques solutions par rapport à la biologie certains traitements naturels.
Et comme tout est quantique aussi joindre mes protocoles
sur le cerveau au niveau des soins énergétiques.
Pourquoi pas?
Prenez soins de vous !
© Franca Gagliardi