vendredi 28 octobre 2016

formation stress, gestion du stress


Je viens de faire une formation très utile

le contenu:


Définitions
 Le stress au travail
 Les facteurs de stress
 Manifestations biologiques du stress
 Gestion du stress
 Psychométrie et textes
 Test Final


samedi 22 octobre 2016

La PNL & l’Hypnose chez l’enfant et l’adolescent





Introduction

Des personnes m’ont demandé s’il était possible d’accompagner les enfants par les techniques de la PNL et de l’hypnose.
Oui, il est possible d’accompagner les enfants et les ados par de la PNL et de l’hypnose.
Mais nous ne pouvons pas faire une généralité des ressources de la PNL et de l’hypnose. Chacun est unique et a sa propre sensibilité.
Bien entendu, ces séances ne se substituent pas à un suivi spécialiste en psychologie de l’enfant ou encore de pédopsychiatrie.
Le praticien en PNL va étudier et percevoir les filtres chez l’enfant, mais le plan général sera établit pas les spécialistes de l’enfance.
Après cette introduction on peut dire :
De manière générale, on considère que les enfants en dessous de six ans sont constamment en transe. Leur imaginaire est plus présent que chez l’adulte. Et les barrières du conscient sont inexistantes. Ce qui favorise normalement un apprentissage aisé pour l’enfant.
Il est donc évident que la vigilance autour de l’enfant sur la communication est très importante.
En premier temps, il est à souligner que les meilleurs praticiens en hypnose sont les parents.
Si il y a des problématiques chez l’enfant, cela va s’en dire que l’apprentissage en premier lieu se fera sur les parents et identifier les causes de la problématique.
Le praticien va faire une sorte de mapping pour identifier ces causes, en fonction de l’environnement, les comportements de chacun des parents, leur langage, les croyances et les valeurs et leur facteur identitaire. Et comment l’enfant évolue dans ce contexte ; le contact familiale, la relation les parents, la fratrie. Donc, tout ce qui est la notion de vie de l’enfant. Comment il perçoit tout ceci dans son ensemble systémique.
En deuxième temps, connaître la volonté de l’enfant. C’est-à-dire, si l’enfant est consentant à cet accompagnement et travailler sur quelque chose de spécifique à sa problématique. Le processus sera idem pour l’ado.
Toute suggestion chez l’enfant, sa réactivité est très rapide. Le processus entre le créatif ou l’imaginaire et l’analytique se fait instantanément. Cela pourra étonner certains praticiens qui n’ont pas l’habitude de travailler avec les enfants et qui travaillent le plus souvent avec les adultes.
Les applications en PNL et ou en hypnose, seront satisfaisantes, car l’enfant à cette grande capacité imaginaire et c’est comme si il était en suggestion directe permanente. Les suggestions et l’impact des mots ont une grande influence chez l’enfant. Cela est vérifiable dans sa notion de vie quotidienne relation parent/enfant, enseignant/enfant, d’où la nécessité d’être vigilant dans son éducation. Si on lui rabâche qu’il est nul il sera nul, si il n’a pas compris adaptez-vous à sa perception, un enfant comprend tout mais c’est à l’adulte de se mettre au niveau de l’enfant. Il a d’énormes ressources inexploitées et se serait dommage de les lui cacher.
Donc, le pouvoir de réaction à la demande faite par le praticien sera presque instantané si celle-ci se fait dans le cadre d’une bonne introduction d’observation, d’étude de la perception, ses prédicats en établissant un rapport et de synchronicité autour de la sensibilité et du langage de l’enfant.
Exemple : si l’enfant est kinesthésique et si la communication et les suggestions se font de manière auditive, l’enfant ne comprendra et ne captera le message suggestif, donc le retour sera nul.
La séance avec l’enfant doit se faire avec son consentement. Si l’enfant n’a pas envie d’être là. Il y aura blocage.
Il est important aussi de souligner que la séance sera faite en présence seule de l’enfant.
La présence des parents peut être un obstacle pour l’enfant et pour les parents surtout peut amener à des constations amères selon que l’enfant exprime son ressenti. Ses révélations peuvent activer des émotions chez les parents.
L’approche avec l’enfant doit se faire en lui expliquant les choses de manière simple. Lui expliquer qu’il y a une partie de son cerveau qui est créatif/ imaginaire et l’autre partie rationnel et analytique.
L’enfant est constamment en transe et que les suggestions ne sont pas arrêtés par son conscient.
Il est essentiel tout d’abord de faire un travail en amont. D’écouter sa problématique, s’adapter à son langage, l’étudier. Et par la suite, lui proposer des suggestions que l’enfant attend selon son cadre de référence.
La même procédure pour l’ado. Exemple :
Si l’ado a des difficultés pour obtenir des résultats sur ses objectifs fixés et que cela lui semble impossible à réaliser, l’aider à se projeter dans ses capacités et lui faire découvrir ses ressources. Il va comprendre qu’il y a des étapes à franchir et que telle ressource va l’aider à passer à l’étape suivante. Et cela fait partie de son évolution future.
Conclusion
Observer sa sémantique, étudier sa personnalité et filtrer au niveau du praticien ses problématiques et ses possibilités.
Cela n’a rien à voir avec un accompagnement d’un spécialiste de l’enfance et ne substitue pas à sa fonction.
L’enfant a cette capacité d’intégrer plus rapidement qu’un adulte et les séances seront moins longues que chez une personne.
Il est important que les parents s’adaptent au langage et la personnalité de l’enfant. Pour que l’enfant capte les suggestions faites de ses parents. (Idem pour les enseignants).
Sa sémantique ne peut être la même que chez son père ou sa mère qui eux même peuvent être différents.
L’apprentissage, alors devient nécessaire chez les parents, pour que la communication entre parents et parents et enfant soit parfaite synchronie. Cela évite bien des tensions et d’incompréhension et des problèmes autour de la notion de vie de l’enfant.

Franca Gagliardi

mardi 18 octobre 2016

La PNL a le pouvoir d’Accompagner les personnes atteintes de types démence, maladie Alzheimer et ses résultats sont positifs

La PNL a le pouvoir d’Accompagner les personnes atteintes de types démence, maladie Alzheimer et ses résultats sont positifs


l'histoire de Maria

Ce que je vais vous raconter est un vécu, une expérience, une belle leçon que j’ai eu auprès de Maria.
La vie d’une femme saine qui tout a basculé quand la goutte d’eau a fait déborder le vase.
C’est l’histoire d’une femme de 85 ans, qui a connu une grande dépression.
Suite à de nombreux gros traumatismes, qu’elle a subit dans sa vie
Elle s’appelait Maria. Elle est née un beau jour du mois de mai, dans une ferme dans un village du Latium en Italie. Dès sa naissance, sa mère la retrouva un jour délangée, nue!
Elle a été élevée par sa grand-mère. Son père gérait une exploitation agricole et sa mère s’occupait des poules, de la cuisine.
Cette petite Maria, était très intelligente mentalement et émotionnellement. Elle était douée pour les études. Elle allait à la broderie chez les sœurs. Sa Grand-mère lui a appris les plus belles choses que la nature peut nous offrir. Elle savait toutes les plantes, elle jardinait avec les cycles de la lune et des saisons. Elle savait les qualités de la terre pour telle plantation. Et elle savait utiliser les plantes médicinales.
Son père ne lui permit pas de faire des études. Elle aurait bien voulu continuer ses études. Elle aurait un statut social différent.
Son père dès l’âge de 8 ans l’envoya accompagner les ouvrières aux champs, elle devait les contrôler et elle devait elle aussi prendre la pioche, la pelle, semer, récolter, au temps des moissons, elle battait le grain, elle devait aller chercher le bois. Porter des charges sur sa tête et marcher pendant des kilomètres.
Un jour, elle fut investi par une charrette remplit de stères de bois, qui lui roula dessus le dos. Et malgré cela, elle allait travailler. Sa grand-mère la soigna par les plantes et le reboutement.
Son père lui achetât un âne, (Maria n’était pas attirée par les animaux) mais elle avait une grande complicité avec son âne (je ne me souviens plus de son nom). Il était de couleur blanc et gris.
Elle aimait beaucoup son père, même si celui-ci était très sévère et jaloux avec elle et qui par sa culture méridionale n’a pas compris que sa fille avait d’énormes ressources.
A 18 ans elle se mariait (son père était contre ce mariage, il savait que sa fille serait malheureuse), malgré que ces jeunes s’aimaient. Maria n’a pas eu la vie facile. Sa belle-sœur qui n’acceptait pas que son frère eut choisi Maria. Elle voulait que son frère épouse son amie.
Et elle va lui mener la vie dure :
Les époux avaient loué une chambre et vivaient chez les parents de son mari.
Maria fournissait tous les produits de la ferme. Et stockait ce qui devait être pour l’hiver.
Son mari travaillait comme maçon à Rome et revenait le samedi au pays. Une des différences entre entre les époux. Lui a eu la chance d’aller jusqu’au collège et n’avait pas envie de faire des études. Et par contre Maria aurait voulu poursuivre ses études. Elle était très instruite.
Alors, un jour après sa journée de travail, Maria retourna dans sa chambre. Elle était fatiguée et attendait son premier bébé.
Elle rentra dans la pièce elle vit son armoire ouverte, et à sa stupeur tout son trousseau que sa grand-mère paternel lui avait brodé, avait disparu d’autres tissus étaient enroulés et déchirés en lambeau.
Elle partit se confier à sa grand-mère, qui est aussitôt intervenue auprès de la mère  de son mari. Le trousseau a été restitué et bien entendu la personne qui avait fait ce mauvais coup était sa belle-sœur qui avait exigé la clé de la chambre des époux. (petite anecdote, le trousseau a été volé pendant la guerre, et une dizaine d’année plus tard, une taie d’oreiller et un drap est revenu comme par enchantement dans les mains de Maria. Tout était brodé avec ses initiales M. I.
Lorsque le samedi arriva, son mari de retour de Rome, sa sœur lui confia que sa femme, la grand-mère de Maria et sa mère l’ont traité de voleuse et lui ont interdit d’approcher de la chambre des jeunes époux, mais celle ci n’en avait que faire des interdictions.
Hélas ! Scène de ménage et Maria subit des maltraitances de la part de son mari à cause d’une manipulatrice perverse.
Il eut plein d’épisodes de ce genre, mais Maria ne pouvait se confier qu’à sa grand-mère paternelle. Car son père était défavorable à ce mariage.
Une autre fois, Maria n’avait plus de chaussures et elle était enceinte et travaillait, alors pendant que sa belle-sœur allait se promener au marché avec ses amies, elle lui demanda de lui acheter des chaussures. Bien entendu Maria lui donna de l’argent.
Mais Maria n’a jamais eu ses chaussures.
Et puis le destin, a voulu que son frère âgé de 12 ans et sa grand-mère décède. Le monde s’écroulait pour Maria, car ses deux piliers avaient disparu et sa tante paternel qui avait une grande affection pour Maria, qu’elle considérait comme sa fille, était partie aux USA.
Elle continua à travailler à la ferme, mais à la maison il n’y avait pas à manger. Tout ce qu’elle ramenait sa belle-sœur, lui volait.
La guerre éclata, son père fut déporter en Sicile. Et il laissa sa femme avec 7 enfants.
Son mari était engagé dans le génie, il s’occupait du pont et faisait traverser les gens sur le fleuve du Garigliano. Il travaillait aussi aux cuisines chez les américains et rassasiait le groupe de villageois.
Les allemands avaient tout emporté des richesses de la ferme. Il n’y avait plus de bétails, de poules, d’huile d’olive, de vin, de farine etc. etc. etc…
Les gens vivaient dans les grottes dans les montagnes.  Pour fuir les bombardements.
Et pour la deuxième fois le père de Maria fut déporté. (Il s’était évadé de la Sicile). Et Maria aussi, ils les ont placés dans le train direction la Russie.
Elle portait sa fille dans ses bras et elle était enceinte de son deuxième enfant.
Arrivés à Priverno, un miracle s’est produit. Le train était tombé en panne, les allemands ne pensèrent plus aux prisonniers, et ceux-ci se sont échappés.
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Ils ont marché pendant des kilomètres pour atteindre la montagne.
Ils se réfugiaient dans les bergeries, ou des grottes. Et réussir à revenir dans leur village.
Une chance, pour ces gens, pour Maria, quelle force , cette femme, enceinte avec une petite fille et qui escaladait la montagne, elle a marché pendant environ 80 km.
Cette réaction émotionnelle, qui l’aida, son instinct de survie, cette peur si on peut dire bénéfique, et pour protéger son enfant et son bébé.
Beaucoup de témoignages de cette guerre, Maria s’étaient confiées à un journaliste qui récoltait les témoignages de la population pendant la deuxième guerre mondiale. Notamment la fameuse bataille de Monte Cassino et le Garigliano (la ligne Gustav).
Puis la guerre finit, des êtres chers sont partis. Alors, son père un matin emmena les femmes au champ, dans une charrette tiré par des bœufs. Et malheureusement, jour fatidique, ils sautèrent sur une mine.
Les cousines de Maria sont mortes sur le coup ainsi que les bœufs (un nom me vient en mémoire : Capirossa).
Son père décéda quelques jours après son hospitalisation. Mutilé d’une jambe par une gangrène.
Maria l’a accompagné et elle était de nouveau enceinte dans ce moment tragique.
Ce fut un choc, une souffrance tout au long de sa vie.
Au dernier mois de son départ, elle n’avait pas fait le deuil de son père. Revivant les instants tragiques auprès de lui.
Alors son mari, décida d’émigrer au Brésil, il travaillait comme maçon car son métier était très recherché (la tyrolienne).
Lorsque il  fut bien établit, il fit venir Maria avec ses trois enfants.
Ils étaient bien installés.
Et Maria pris en gérance un snack. Elle vendait des cigarettes, des boissons et faisait à manger pour les ouvriers de la Pirelli, le snack était ouvert 24/24 heures.
En quelques mois elle avait remboursé le propriétaire et était propriétaire du lieu.
Ils avaient une petite villa, et son mari avait même acheté deux terrains (un des terrains fut emporté par un orage et transformé en lac).
Maria travaillait dans son snack, et soignait les lépreux qui venaient de la forêt Mato Grosso.
Elle appliquait une pommade que sa grand-mère lui avait apprise, et leur faisait des injections.
Son frère l’avait rejoint avec sa femme.
Maria était enceinte de jumeaux, mais elle a fait une fausse couche. Encore un coup dur de voir ses bébés mourir.
Et puis son mari, a pris la fièvre jaune, alors ils sont rentrés au pays.
Il y a encore un lit au grenier d’origine brésilienne, toutes les autres choses ont été dérobées. Encore un coup pour Maria qui aimait conserver les choses en bon état. Fruit de son labeur.
Mais la tourmente n’était pas fini, son frère qui était au Brésil avec elle s’en était retourné. Et un matin en allant récupéré le fer des bombes empreinte de la guerre.
Il marcha sur une mine, il fut projeter et déchiqueter. Maria dut récupérer tous ses membres, quel choc pour elle de voir son frère démembrer. Quel courage Maria que de récolter son frère en pièces!
Et ce traumatisme la suivra toute sa vie se visualisant ramasser les membres de son frère.
Elle avait trouvé un travail, malgré qu’elle ait à son retour des aides d’installation et une maison à Latina. Elle n’a cessé de travailler et elle aimait la terre, la nature et les plantes, c’était son domaine. Aujourd’hui, la mode est à la permaculture, mais Maria travaillait depuis longtemps de cette manière, un savoir hérité par son père.
Elle a préféré resté auprès de sa mère et de ses frères et sœurs. Mais habitait chez ses beaux-parents. Avec l’aide financière du retour et la perte du trousseau que l’état italien lui donna, elle avait un objectif acheté un terrain au bord de la mer.
5000 mètres carrés et construire sa maison. Son objectif fut anéantit, sa belle-mère se lamentait auprès de son fils, qu’elle allait le perdre, si il habitait à 8 km d’elle. (Drôle d’argument).
Maria n’a pas pu aboutir à son projet, car son beau-père, qui était parti avec un groupe de villageois ramasser les éclats de bombes, furent arrêtés.
Tout le groupe fut remis en liberté après que les familles eurent versées une caution. Pour son beau-père, il pouvait rester là où il était.
Alors Maria qui aimait beaucoup son beau-père qui était juste et respectable, paya sa caution et il fut libéré. Adieu beau projet pour Maria, elle avait un sens des affaires !!! Aujourd’hui, plusieurs bâtiments sont construits sur cette zone balnéaire.
Son beau-père, qui était juste et respectable et honnête, des origines nobles et riches par son père et sa mère – (à contrario de sa fille), décida de lui vendre sa maison et son terrain, sachant qu’il ne pouvait pas rembourser sa dette envers sa belle-fille.
Le beau père a pu avoir sa pension de guerre et a été fait chevalier de l’ordre de Vénétie, décoré de la médaille d’or et de la croix. Plus une prime. C’était Maria qui a fait toutes les démarches à Rome, et cela lui a valu encore une fois une grosse dispute. Car le vieux n’a pas vu sa prime qui a été subtilisée par sa fille. Mais pour les villageois et la famille, c’était Maria qui a été traitée de voleuse et d’autres choses encore.
Le notaire fit un acte de vente et Maria était propriétaire de cette maison. Son beau-père savait que jamais, sa belle-fille les délogerait et désapprouvait totalement le comportement de sa femme et de sa fille à son égard.



De ses belles sœurs aussi (des vieilles sorcières)
Mais Maria ne se douta pas de tous les problèmes engendrés par cette acquisition.
Son mari qui travaillait à Latina, toujours dans sa spécialisation très recherchée à son époque.
De retour, sa sœur lui référait que Maria avait volé les biens, et que tout était mis à son nom. Et pauvre Maria après avoir reçu des coups, avec un nez fracassé et perdit son bébé, elle fut contrainte de donner 50 % de la propriété à son mari.
Cette femme a souffert toute sa vie, maltraitance physique et morale, de la part de son mari, de l’autorité de son père, de ces femmes pernicieuses dont étaient sa belle-sœur et sa belle-mère. Ceux qui l’a protégeaient sont décédés et sa tante qui la considérait comme sa fille vivait aux USA.  Elle lui envoyait des paquets, et Maria de ses robes confectionnait des habits pour ses enfants. le reste sa belle sœur lui dérobait et le vendait.
Maria n’a pas reçu l’amour parental, ni même par la suite.
Elle allait aux champs ramasser l’ail, puis le tresser pour qu’il soit expédié aux USA (grâce à ces années, elle put avoir une petite retraite, car surprise pour elle, les autres, ainsi que son père avaient négligés de la déclarée), ces enfants allaient à l’école, et quand il rentrait, tout ce que Maria ramenait, il n’y avait rien pour ses enfants que du pain dur.
Tandis que les enfants, le mari et la belle-sœur avait la belle vie avec les sueurs de Maria. Alors les petits, montaient à la vigne, et voyaient que leur oncle qui avait leur âge, avait une table dressée, et que la mère de Maria lui servait un œuf frit.
Hélas ! La veuve ne pouvait pas chaque jour, satisfaire la faim de ses petits-enfants. (Que la veuve et ses enfants émigrèrent pour le Canada. Un autre coup dur pour Maria).
Et ces enfants qui avaient l’abondance à la maison, n’avaient pas droit de manger à leur faim. Ils devaient se contenter d’un pain dur, cuit dans de l’eau.
Maria souffrait et elle ne pouvait rien dire, car à la moindre remarque c’était des coups qui l’attendaient.
Alors son mari, fut invité par une grosse entreprise française à venir travailler en France. Mais son mari n’avait pas l’intention de se déplacer. L’entreprise lui offrait le double de son salaire plus des primes. Alors, il a tenté, et il s’installa à Valence.
Puis, comme il gagnait bien sa vie, il demanda que sa famille le rejoigne.
L’office d’immigration organisa la venue de sa famille.
Maria et ses enfants passèrent par Milan, là parcours de la quarantaine avant de rentrer en France. Ils s’installèrent un mois de janvier 1957, à Lyon.
Maria n’avait jamais vu le fleuve glacé. Il y avait une cuisinière à charbon, qui chauffait la maison.
Mais Maria était travailleuse, elle avait toujours un projet en tête. Alors la journée, elle travaillait les jardins des particuliers, allaient cueillir les cerises, les pommes, poires etc. selon les saisons. Elle allait à la montagne au-dessus du village ramasser du bois et des châtaignes pour économiser.
La nuit elle faisait des fleurs, pour une entreprise américaine.
Puis elle entra à l’usine de cartonnage, elle se levait à 4 heures du matin, traversait le pont de la Saône pour prendre son bus, elle amenait du pain, un peu de saucisson ce qui restait de la veille. Tout ceci, pour ne pas à avoir payer la cantine et faire des économies.
Elle revenait à 5 heures du soir, s’occupait des courses, allait chercher sa fille à la gare, faisait les jardins, puis un particulier lui a loué le sien.
Mais encore une fois, son projet tombe à l’eau. Tout ce qu’elle mettait de côté, elle ne pouvait atteindre ses objectifs. Maria subit une grosse intervention chirurgicale, dans sa solitude, elle dû gérer le quotidien et plaçât sa dernière chez sa marraine.
Elle n’a pas eu le temps de la convalescence, qu’elle repartie à l’usine, mais elle était épuisée, et les ligaments de son annulaire fut sectionné dans la machine de presse. Elle aurait pu sauver son doigt , mais les médecins ont préféré sauver l’alliance que son doigt.
Au bout de quelques jours, elle repartit à l’usine, plus elle travaillait à la pièce, plus elle pouvait gagner de l’argent. Au dépend de sa santé. Et une autre fois, sous les fers des chirurgiens, un gloître et pas très bon, le diagnostique était réservé. Elle s’en sortie.
Et dès qu’elle put travailler, elle s’en alla devant sa presse.
Son argent servit pour réparer la maison en Italie, les voyages de son mari qui avait sa mère malade.
En fait cette pauvre femme travaillait pour les autres et enrichir les autres. Elle ne le supportait pas et bien des fois des scènes éclatèrent entre le mari et la femme.
Et profitant de leur venue en France, sa belle-sœur a eu la belle idée de falsifié des documents de la propriété. Sa belle-mère qui ne savait ni lire, ni écrire par une croix certifiait donné un terrain qui lui appartenait de droit depuis 1930.
Sauf que ce terrain était la propriété de Maria. Alors vous imaginez la suite, cette femme immonde construit une maison sur la propriété de Maria, profita de son absence pour stocker des cercueils que son mari fabriquait. Et tous les frais de réparations que Maria et son mari firent chaque année , en fait toutes ses économies servaient dans une maison qui lui appartenait seulement sur le papier. Et par la suite même plus sur le papier.
Et puis sa belle-mère rendit l’âme. Alors, s’engageait des procès entre frère et sœur, mais le mari de Maria n’a jamais gagné un procès. Car hélas ! Les faux témoignages, les faux et usages de faux, la pernicieuse elle savait faire. Et malgré l’évidence Maria recevait des coups.
Le beau-père de Maria resta seul, et prenait parti pour sa belle-fille.
Maria et son mari décidèrent d’acheter un bien en France, payer un loyer c’était de l’argent gaspillé pour Maria.
Alors ils trouvèrent une maison à restaurer. Ils contractèrent un crédit auprès de la banque. Et achetèrent la maison. Voilà il fallait faire vite, car ils ne pouvaient se permettent de payer des mensualités du prêt et le loyer de la maison.
Maria travaillait à l’usine le jour, et rejoignait son mari le soir pour restaurer cette maison. Elle montait des sacs de ciment, des moellons sur sa tête.  Leur fils leur donnait un coup de main quand il revenait de déplacement, de Nantua.
Le mari de Maria entre temps changea d’entreprise, car on lui proposa un poste chef de chantier. Et avec la débrouille, il put avoir des matériaux moins chers, des portes des fenêtres, par l’entreprise il achetait le sable, les moellons, tout était à faire dans cette maison de pierre jaune et l’intérieur de paille. Mais lui aussi, il était toujours en déplacement.
Malgré cela, il était difficile de finir le mois. Et le frigo était vide.
Alors, un samedi soir, Maria rêva son père, et il lui donna des numéros. Chaque dimanche, Maria allait à la messe, elle était pieuse.
Et en revenant, elle dit à son fils, il me reste 5 francs (ancien), où j’achète la viande hachée pour midi, où tu vas me jouer les numéros au tiercé que ton grand père m’a donné. Alors que dans sa tête, sonnait les numéros, elle n’en peut plus. Elle dit tanpis pour la quantité de viande, il faut que je joue ces numéros. Je n’en peux plus d’entendre ces numéros.et à l’arrivée des chevaux l’après-midi, ces numéros joués, sont arrivés dans l’ordre.
Alors Maria, se débarrassa du crédit de la maison, et acheta le coulé du plancher.
Au mois d’août, comme toutes les années aux vacances, ils descendirent au village. Et comme d’habitude, la même constatation, intérieur dégradé (carrelages, portes, fenêtre etc) par les cercueils stockés, les meubles aussi, puisque sa belle-sœur vendait des meubles. Et aussi par le petit fils de sa belle-sœur, qui avait un enfant avec des problèmes psychologiques. Et le vieil homme vivait dans une maison insalubre.
Et surprise, celle-ci dit à Maria, tu gardes mon père il me donne trop de travail et je n’ai pas le temps de m’occuper de lui. Pauvre homme ! Il n’avait pas besoin d’être gardé, il avait toute sa tête et était indépendant. Non l’objectif de cette pernicieuse c’est qu’avec son père elle ne pouvait pas s’accaparer des biens de Maria et de son mari.
A contre cœur, le pauvre vieux, fut obligé de quitter sa maison, ses habitudes et émigré dans un pays qu’il n’avait pas fait projet de venir.
Il était pensionné de guerre, grâce à Maria qui avait fait les démarches auprès des autorités militaires italiennes, il fut décoré aussi de la médaille d’or et chevalier. (Les médailles ont été volées, il n’y a pas longtemps, il reste le certificat), l’argent qui va avec sa fille s’en est occupée, et il avait sa pension d’agriculteur.
Il demanda à Maria de faire suivre sa pension puisque il était obligé de vivre dans ce pays. Maria lui promit. A son arrivée, elle l’emmena au consulat qui fait toutes les démarches administratives. Mais il fallut 6 mois avant que le versement fut fait. Le beau père entre temps était à la charge de son fils et de sa belle fille, bien qu’il ne demandait rien, mais il regrettait sa maison, son feu de cheminée, sa terre.
Et il a fallu qu’une sœur à ce bon vieux décède avec son mari d’un accident de la route. Ils n’avaient pas d’enfants et les héritiers étaient les frères et sœurs du beau-père à Maria. Un beau soir, quelqu’un sonne à la porte de Maria, et surprise qui était là ?
Sa belle-sœur. Elle lui ordonna de payer le taxi sans savoir si elle avait l’argent pour le régler. Et le lendemain ramena son père au village.
Non pas parce que son père lui manquait, mais les héritiers ne pouvaient pas avoir accès à la succession sans la signature du beau-père à Maria.
De plus, comme ces pauvres accidentés étaient ambulants, toute la marchandise avec la lambrette fut garée dans la maison de Maria. Imaginez cette femme dans l’état où elle devait être !
La manipulatrice pernicieuse prit tout l’argent de son père. Et hélas ! On dirait que les gens fourbes manipulateurs, pervers, malhonnête, voleurs ont une chance inouïe. Tout leur réussit !
Sauf que, le beau-père fut rentré en janvier 1970, en mars il eut un grave accident, pendant qu’il revenait doucement vers la maison il fut percuter par une voiture qui le fit voltiger à quelque mètres.
Ce pauvre homme n’a pas été soigné par les blessures qu’il eut mais simplement plâtré à une jambe (celle dont il s’est blessé pendant la guerre), pourquoi ? Parce que le conducteur était en tort, et qu’il n’avait pas d’assurance et qu’il était parent à la femme de la belle fille de la pernicieuse.
Lorsque le beau-père de Maria rentra en janvier 1970, Maria alla au consulat pour faire le retour du paiement de la pension.
Mais cet argent de la pension, devinez dans quelle poche il a atterrit ?
Alors le beau-père mal soigné, est décédé, que ce soit la belle mère et le beau-père tous les frais d’obsèques de postes au cimetière a été à la charge de Maria.
D’ailleurs, Maria n’a jamais cessé de payer leur lumière au cimetière chaque année, de changer les fleurs, de faire dire des messes à la Toussaint, et aux fêtes selon sa culture.
Mais tout cela ne s’arrête pas là, pour Maria, son fils fiancé à une fille du village depuis des années, rompit et épousa une française. Un coup pour Maria, qui aimait beaucoup sa première belle fille et qui était l’espoir qu’elle repartirait avec sa famille en Italie.
Une parente à son mari, demanda de lui construire une maison de l’autre côté du Garigliano. Mais Maria n’était pas d’accord, que son mari laisse son travail en France. Ce n’était pas ses projets qu’ils avaient fait ensemble, mais il se trouve que cette parente était la belle mère à sa fille, alors une fine manipulatrice aussi celle-ci, fit démissionner son mari pour qu’il construise la maison qui devait revenir à sa fille. Et de plus , réparer des appartements qu’elle avait au village.
Tout ceci pour sa fille, les hommes ne comprennent rien à la manipulation féminine, et comme tout bon père, pour le bien de sa fille il resta loin du foyer pendant 6 mois. Maria devait travailler plus dur, car elle avait les frais et les charges de la maison en France et celle d’Italie et sa famille.
Elle n’a pas eu son mot à dire. Comme d’habitude tout lui était imposé. Tout comme le mariage de son aînée qu’elle désapprouvait totalement. Là aussi, elle a eu la famille à dos, la pernicieuse qui avait arrangé ce mariage.
Sa fille gagnait bien sa vie en France, elle avait un métier qui lui rapportait un joli salaire et elle avait un penchant pour un peintre. Mais, avant les années 1968, le mari de la pernicieuse vint travailler en France, il n’avait pas de travail (il était menuisier), après un séjour de presque de deux ans en Allemagne, il s’en était tous revenus au pays.
Sauf que, lorsqu’il entendit que Maria et sa famille s’en sortait bien (pensant que l’argent tombait du ciel), il fit des pieds et des mains pour venir. Pas facile de vivre dans un trois pièces à 7 personnes. Et oui Maria avait quatre enfants et un de plus. Et tous les frais à sa charge. Enfin comme elle ne pouvait dire mot.
Cet homme aussi pernicieux et jaloux que sa femme, n’accepte pas que la fille de Maria qui travaillait à la pièce comme couturière, gagnait autant d’argent, que lui. Il était écœuré. Et il en fit la remarque à la fille de Maria et sermonna Maria . Il resta peu car c’était trop dur et exigeant, et lui c’était magouille.
Et de ce jour-là ils ont monté l’histoire du mariage de la fille à Maria, mettant contre elle sa propre fille.
Entre temps la cadette, étudiait la haute coiffure en Italie et elle vivait avec ses grands-parents. Bien entendu, Maria finançait les études et la vie quotidienne, de sa fille. Là aussi elle gênait, ses cousins étaient jaloux d’elle, elle était semi fiancé avec un médecin. Cela n’arrangeait pas les projets de madame la pernicieuse, lorsque la cadette fut diplômée, pernicieuse monta un coup et renvoya la cadette en France.




La suite dans un autre chapitre

samedi 15 octobre 2016

Comprendre ce qu'est la peur

Les catégories de peur





Il y a plusieurs catégories de peur.

Commençons par en identifier quelques unes, nous détaillerons plus loin les formes, les types de peur et essaierons de comprendre ce phénomène complexe.


  1. La peur de soi même


  • Peur d'aller dans ses profondeurs. C'est à dire être confronté à l'effet de miroir qui reflète plusieurs aspects:
  • Cela engendre une vérité. Et met l'individu face à sa responsabilité.
  • Appréhender un jugement et la condamnation interieure (sentiment de culpabilité)
  • Faire face à cet inconnu invisible que l'on ne veut pas découvrir
  • Un quelque chose de différent de la réalité du comportement extérieur de l'individu. 
  • On peut utiliser cette image métaphorique: "ce qui est en bas est comme en haut, quelque chose de conflictuelle".
  • cela peut être tout comme l'expérience de la spéologie s'engager pour la première fois dans une grotte.
     2. La santé

La crainte de la douleur, l'expression d'un conflit interne et de l'organisme pour éliminer l'inconfort des maux.
Cette douleur qui peut prendre plusieurs formes, comme la couleur, l'intensité graduelle de celle ci, son goût,  par exemple.
Une douleur et ses formes
  • Chagrins, peines, souffrances
  • Douleurs physiques et émotionnelles: Elles se manifesteront selon la personnalité de l'individu et ses comportements.
Cette crainte de la douleur apportera l'emprise de celle ci sur l'individu. elle va prendre de l'espace et l'individu sera soumis à sa douleur et torturé dans l'incapacité de gérer.
La douleur a un goût amer, acide.

    3. Le manque (besoins quotidiens)
  • Les biens matériels et financiers, c'est la peur de manquer. dans toutes les classes sociales, notamment la classe moyenne et aisée ont peur de perdre leurs biens.
    4. Avoir peur pour ceux que l'on aime - Ses enfants
  • La peur pour ses enfants (maladie, accidents, etc )
  • renvoyer sa peur sur ses enfants et sa famille proche
    5. les relations extérieures
  • Cela provoque un mécanisme de méfiance et de bienveillance 
    6. La peur des animaux - la zoophobie
  • Selon la race (insectes, araignées, scorpions etc)
  • Reptiles
  • Chevaux
  • Fauves
Les animaux ressentent la peur de individu qu'il diffuse et cela engendra le comportement de l'animal.

A contrario, l'individu aura une attitude hyper autoritaire, créer la peur chez l'animal. ce qui provoquera un effet de peur réciproque ou s'inversée.

    7. La peur du noir

    8. La peur des êtres imaginaires , des êtres invisibles, des êtres méchants 

    9. La peur au niveau religieux - (de Dieu)

    10. Les événements et catastrophes naturelles

    11. La peur de la mort.


Les différentes formes de peur


Il existe une multitude de peur
La peur est un phénomène complexe lié à des plans psychologique, physiologique, biochimique, neurologique et social.
La peur est liée à une incertitude, l'inconnue qui déstabilise l'individu dans son ensemble.
La peur est une émotion créée par une pensée imaginaire et ancrée dans la mémoire. 
L'émotion de la peur peut aider dans certaine situation l'individu. Cette émotion est l'instinct. C'est une émotion naturelle qui est un élément de survie face à des dangers. Ceci est observable chez l'humain comme chez les animaux.
Mais la peur, peut être limitante et envahissante. Donc, elle sera alors psychopathologique.
Cette distinction, nous amène à considérer que la peur psychopathologique peut être guérie par des thérapies brèves. Comme la PNL - Richard Bandler a mené plusieurs expériences et ses thérapies ne sont plus à démontrer.
C'est une émotion qui peut s'enchaîner sur des crises de panique, lorsqu'elle celle ci s'amplifie.

Il existe plusieurs types et formes de peur pathologiques
  1. la mono-phobie (exemple: la peur de prendre l'avion, la zoophobie, l'eau etc). Ce que l'on constate dans les attaques de paniques, des TOC (troubles obsessionnels compulsifs, l'agoraphobie, des états hypocondriaques.
  2. la phobie généralisée

Quelle est la différence entre la mono-phobie et la phobie généralisée?

Cette différence se situe au niveau de la structure de la perception de la peur. La mono-phobie persistante et amplifiante conduit à la peur généralisée qui se traduit par une crise de panique. et conduit une phobie pathologique.

les types de peur qui peuvent déclencher la panique

  1. La zoophobie
  2. Acrophobie (peur de la hauteur, des lieux élevés)
  3. Claustrophobie (peur des lieux fermés)
  4. Agoraphobie - la phobie sociale (peur de la foule)
  5. La peur des infections, des contaminations, des microbes (sang, hygiène ...). Cela devient un syndrome compulsif. Une obsession des rituels de propreté, de désinfection.
  6. Hypocondriaque - La peur de la maladie: consultation continuelle des médecins. bilan de santé etc
  7. La phobie de la perte de contrôle
  8. La peur de parler en public
  9. De montrer ces émotions, ses sentiments (rougir etc.)
  10. Sueur excessive

Cinq grandes classifications de la peur

Comme on a pu le voir. Il existe plusieurs classifications de la peur

- Catastrophe naturelle - accidents, deuils, pertes, divorce rupture, etc
C'est une phobie incontrôlable d'un événement dans le temps futur. Cette réaction de panique marquée par un blocage d'un raisonnement rationnel, des réactions physiologiques.
Ce qui entraîne des symptômes tels que:

- Respiration modifiée et irrégulière
- tachycardie
- Sueurs excessives
- Malaises
- Cri
- tétaniser
- autres

donc une mono-phobie non traitée s'étend sur une phobie généralisée.
Cela entraîne une irrationalité dans la gestion de la peur et conduit inévitablement à une phobie générale.

La manifestation de la phobie généralisée.

On peut distinguer deux:

- La peur de mourir
- La peur de ne plus contrôler ses émotions et ses sentiments et qui conduit à une espèce de démence

Comment, quand et à quelle fréquence? 

On peut se poser la question si:

- Est ce que cette crise phobique se produit dans une situation spécifique? A quelle fréquence? 
- Qu'est ce qui fait que cette phobie est présente chez cette personne?
- Est ce que cette phobie est liée et se déclenche dans un lieu spécifique? 
- Comment fait elle pour provoquer cette peur? 
- Qu'est ce qu'elle imagine, entend, visualise?

On peut observer que la crise agoraphobie ou la crise claustrophobie envahi l'individu d'une crise de panique de phobie généralisée. Donc qui est associée à une situation spécifique ou à un lieu.
Les personnes vont alors s'organiser pour ne pas être confrontées à cet état de crise à éviter tout ce qui pourrait empoisonné leur état de peur. elles sont limitées dans leur vie quotidienne par cette phobie et seront toujours sur la défensives. Tout contrôler alors, entraînera un état de stress constant. Les personnes seront soumises à cet état d'esclavage, conditionnées à vivre le quotidien par ce facteur dominant. Elles vont choisir tout ce qui sera protection dans leur entourage. Jusqu'au partenaire par exemple, qui la protégera et non pas une relation sentimentale. Le choix peut aller aussi sur son emploi. Tout sera gérer en fonction du rapport de sa peur.


Les TOC

De la peur naît une obsession à se défaire de l'élément perturbateur (exemple: microbes). Le fait de se laver les mains fréquemment sans raison et qui deviendra un rituel, comme un genre de tic.

Différents types de TOC

- S'auto immunisé, éviter une contagion d'un événement futur catastrophique
- Gestes compulsifs : ranger des objets d'une certaine manière et vérifier, les gestes de protection, les mantras verbaux et non verbaux que la personne ressasse.

Les Hypocondriaques

La peur de la présence d'une maladie invisible dans l'organisme de la personne.
La personne fréquentera exagérément les services médicaux, les contrôles médicaux, les examens médicaux de tous genres. Tous les bilans sont normaux. Mais elle ne sera pas convaincue et croie fermement à la présence de cette maladie qui ronge son organisme. Pour elle, les diagnostiques ne sont pas normaux, il doit y avoir une erreur.
elle va décrire continuellement son malaise. C'est une vraie obsession, qu'un mal invisible hante son corps.
En fait, la personne par son auto suggestion crée une croyance qui va faire apparaître la maladie.

La phobie Traumatique


C'est une expérience réelle, vécue, un événement qui s'est produit . C'est événement est ancré dans les mémoires, et se sont des souvenirs résiduels qui produits des réactions émotionnelles à une situation spécifique.

Conclusion

La peur est une manifestation émotionnelle d'une représentation, d'une création de croyance qui va déclencher une réaction, un comportement incontrôlable et irraisonné mental, physiologique, biochimique et neurologique. Tout comme un ordinateur cela va provoquer un bug. Du bug cela va déstabiliser les réseaux et la panne.
De la mono-phobie naît une phobie généralisée.

L'anxiété

L'anxiété c'est l'effet de cette perception émotionnelle.
D'après les neuroscientifiques:
La réduction de l'anxiété d'un individu peut inhiber ses réactions. Mais ne modifie pas ses perceptions. Ce qui veut dire que la peur, est toujours là présente.

mardi 11 octobre 2016

Hypnose - Estime de Soi - La chaîne de Franca Gagliardi

Retrouver, trouver l’estime de soi où le chemin de la bienveillance envers soi-même
L’estime de soi, est une dimension fondamentale de notre personnalité ; c'est l'expression de nos comportements externes, faible estime de soi nous amène à nous recroqueviller et ne pas avancer, des doutes, des peurs, le stress sont autant d'indicateurs du faible estime de soi et le non-respect de qui nous sommes réellement. C’est ne pas s'aimer.
C’est le respectus et c’est le réseau immunitaire de notre état intérieur de notre personnalité
Il est le pilier celui qui nous protège et nous maintient dans les secousses de la vie.
L’expression "estime de soi" vient du latin "oestimare", "évaluer", dont la signification est double : à la fois "déterminer la valeur de" et "avoir une opinion sur".
De nos croyances nous allons avoir un regard critique envers soi. Il est un élément essentiel dans le facteur de notre vie. De notre environnement, nos capacités, notre identité, notre foi, notre confiance en soi même. Des valeurs ……
Une authentique (non pas nombrilistique) estime de soi, de confiance de soi est nécessaire. Et imaginez un instant ce que cela peut être, si cette estime de soi, diminue, c’est comme si, la tour peut vaciller de droite à gauche, mais ne pourra pas s’effondrer. C’est la chaudière qui fait que le navire n’échoue pas lors des tempêtes. C’est un stimulateur dont on a besoin. C’est le phare de nos comportements face aux secousses.
C’est notre assurance vie, qui nous protège par monts et marées.
Cette séance va vous aider à connaitre votre réalité de votre Moi interne, de vos vraies valeurs et de nouvelles croyances
C’est le pilier qui vous maintien droit et non penché
une haute estime de vous aide à découvrir votre soi et de consolider votre socle , vos racines, votre

Franca Gagliardi

Soi

lundi 10 octobre 2016

Le secret du monde des régimes - la Chaîne de Franca Gagliardi

La PNL a le pouvoir d’Accompagner les personnes atteintes de types démence, maladie Alzheimer et ses résultats sont positifs





La PNL a le pouvoir d’Accompagner les personnes atteintes de types démence, maladie Alzheimer et ses résultats sont positifs






Qu’est ce qui fait, que les personnes au cours de leur vie, abandonne ?
Qu’est ce qui fait la maladie s’installe
Qu’est ce qui fait qu’une personne saine transforme son état dans la démence, la maladie d’Alzheimer ou autres ?
Alors je vais vous raconter la vie d’une personne. Son chemin de vie jonché de pierres, d’obstacles, de traumatismes, et autre chose …
Je vais vous raconter lors de mon accompagnement, comment on peut faire plus de ce que j’ai fait. De le faire en tant que psycho praticien, utilisant les outils de la PNL de l’hypnose.
La solution existe mais il faut commencer par l’histoire d’une vie, celle que toutes personnes empruntent et ce qui a provoqué les dommages.
Aujourd’hui, encore je fais des recherches et je dirige mes travaux dans ce que j’ai expérimenté auprès des malades que j’ai accompagné.

J’ai créé aussi des grilles, des expériences et je les insérerais dans les prochains chapitres

Franca Gagliardi

dimanche 9 octobre 2016

La chaîne de Franca Gagliardi -Hypnose se libérer des pensées suicidaires

La chaîne de Franca Gagliardi -Hypnose se libérer des pensées suicidaires



Il y a dans cette société exigeante, des personnes qui sont au bout du rouleau qui broient du noir, qui se sentent diminuées, vidées, qui n’ont plus confiance en elle, certaines se déprécient qu’elles renvoient l’image de leur mal être et leur entourage renvoie cette image de dépréciation. Certaines sont manipulées, harcelées.
Une personne qui n’arrive pas à s’adapter aux exigences extérieures. C’est un mal être qui s’installe passant par plusieurs étape jusqu’où la communication ne passe plus, le vide, tout est sombre, en la personne c’est un conflit intérieur et c’est comme si deux êtres tire vers elle une corde et c’est un tiraillement incessant.
De nombreux comportements, difficultés, croyances, décisions, ont une origine dans le passé, souvent dans la petite enfance, où quelque chose d’autre qui s'est passé. La personne va construire son environnement sur cet événement du passé. Elle a cette sensation d’avoir vécue avec cette difficulté
Aujourd’hui, des personnes vivent ce problème.
Cela touche des personnes adolescentes, mais les actualités dans le monde du travail ramène à un mal être et de plus en plus pour le profit, l’identité et les valeurs de la personne sont repoussées à l’intérieur d’elle. Plus de chiffre, plus, plus, plus de performance. Alors la corde va casser (France télécom orange, la poste, les banques, les entreprises de tous les niveaux), mais aussi des chefs d’entreprise, des limites franchies, et puis cela peut être une cause d’un deuil d’un être cher, d’une séparation, d’un traumatisme.
Pour ces personnes, L'idée de suicide peut parfois s'installer et apparaître comme une solution. Rétablir l’ordre à l’intérieur de soi, sortir de cette zone de conflit.
Trouver d'autre manière de régler son problème. Etre attentif au langage verbal ou non verbal de la personne et l’aide extérieure devient nécessaire. Une personne ayant un conflit interne de ses valeurs démontrera des incongruences simultanées, dans son attitude, son comportement
Il y a des outils en PNL et d’hypnose pour accompagner une personne dépressive en l’aidant à faire son travail de transformation. Elle peut transformer ses pensées suicidaires en une action confortable de sérénité.

Si on peut aider une personne dépressive à changer ses processus de pensée intérieurs, ses comportements ou son environnement alors qu’elle est au bord du suicide...
Ce n’est pas le pourquoi qui est important, c'est comment et qu’est-ce qu’il se passe

Franca Gagliardi


samedi 8 octobre 2016

Les couleurs des pierres et ta vie








Tout au long de ton chemin, tu découvriras des pierres, 
Toutes genres de pierres, 
elles ont toutes quelques choses de spéciales et spécifiquement unique, par sa forme, ses qualités, 
sa couleur,
Tu vas expérimenter, observer, Certaines te testeront.
D’autres, t’apportent l’illusion. D’autres encore, te manipuleront par leur éclat synthétique.
D’autres encore, t’enseigneront. Et peut être certaines t’aimeront,
Et puis, en plaçant ta main sur ton cœur, tu t’apercevras qu’il y a une pierre magique, là tout près en toi.
Celle-ci tu écouteras ces murmures , elle se transformera en un miroir pour te révéler les secrets de ta vraie identité, cet être aux milliers de ressources qui sont là , prêt à te servir .
Cette pierre si rare que tu rencontreras le moment venu . 
Elle est en toi . C’est l’éclat de la vie , elle est en toi. C’est ton diamant . C’est cette chose que l’on appelle amour inconditionnel. C’est ton amie
Son nom : Ame
Franca Gagliardi

dimanche 2 octobre 2016

La chaîne de Franca Gagliardi - Hypnose deuil

L’accompagnement d’une personne souffrant la perte d’un proche


L’origine du mot. « Deuil » est issu du  latin « dolus »  "dolore", signifiant « douleur ».

« Faire son deuil » ne signifie pas « terminer et passer à autre chose »

Et les personnes en deuil, n’aiment pas ce terme.

Le deuil est une auto douleur intérieur que l’on s’inflige à soi-même. Une rupture de connexion interne .

Une souffrance comme si tout le corps entier retient cette brûlure causée par un chaudron allumé et qui ne peut s’éteindre. C’est des cris désespérés à l’intérieur de soi que personne n’entend et qui ne sortiront pas. Cela peut devenir pour certaines personnes en souffrance une cocotte-minute qui explosera.

Les phases du deuil commencent par un choc. Le bateau dans une tempête submergé par cette vague, un effondrement, des repères qui n’existent plus, une errance de nulle part, le néant. Cette sensation bizarre et inattendue que cette chose peut exister.

Le décès d’un être cher est une douleur que  l’on pense insurmontable. Et même si ce décès était annoncé, lorsque le fait se réalise est une épreuve quand elle se présente.

Il y a cette solitude, de la personne confrontée à cette perte. Seule face à ses émotions, ses sensations quel que soit son vécu. Et rares sont les personnes qui pourront exprimer à l’entourage ce qu’elle éprouve réellement, sa réalité. Et l’environnement social aujourd’hui a déserté cette place qui est la sienne, que ce soit de la religion, médicale ou autre,

Un vécu d’un deuil est unique on ne peut pas généraliser, chacun va le vivre selon son histoire. Mais ce néant, cet effondrement et le tout qui n’a plus rien d’importance, le bateau qui part à la dérive, perte de sens, du temps c’est le choc et cela beaucoup de personnes endeuillées le vivent

Suite à cette réaction au choc, c’est surtout une forme  d’anesthésie, un temps d’amnésie. On n’y croit pas, c’est le déni. Cela va durer pendant une période selon les personnes, quelques heures, jours, mois ou des années. Le refus de croire au décès d’un proche, va être tel un anesthésiant calmant la douleur. Mais tout le chemin reste à faire

Alors l’entourage croira que la personne a fait son deuil, que finalement elle a bien vite oublié. Il n’en est rien ! C’est une trêve de cette bataille intérieure qui se livre au fond de la personne

Et c’est une bombe à retardement

La révolution sournoise au fond de soi, celle de la colère,

Cette colère aux deux visages :

Colère contre la maladie, contre les médecins, la société, contre Dieu aussi

Et puis cette colère contre le défunt

Celle où les reproches envers la personne décédée sera exprimée.

Exemple : « Pourquoi tu m’as abandonné ? »,

Ce manque de différentes formes qui prend place

Qu’est ce qui manque au juste ? Cette présence physique ? Cette présence affective ? Cette dépendance émotionnelle ? Ou autres choses ?

Alors, cette personne endeuillée pourra t’elle retrouver ce qu’elle a perdu ?

Qui comprendra ? Et elle va s’isoler dans un monde qu’elle s’est construit.

Tout la dérange, le bruit qui l’entoure, la vie selon ses ressentis. Les personnes qui manquent de neutralité et qui ont une autre projection de ce qu’elle vit. La douleur, est là et l’anesthésie devient un moment d’amnésie qui est le masque de la douleur.

On peut considérer qu’il y a trois ruptures du pattern en soi

Le choc
La colère
La culpabilité
C’est la perte de son intégrité

Cette douleur est le fil conducteur qui peut amener à l’accompagnement de la personne.

Pour elle, une personne qui lui dire faut faire son deuil est inadmissible et elle ne l’entendra pas. C’est comme si on jetait un objet à la poubelle. La période de deuil sert à ancrer le souvenir dans un lieu de sérénité qui est en soi. Où l’être aimé si précieux ne sera pas abandonné, oublié. Qu’il fait partie de la mémoire affective, d’amour, et qu’elle soit assurée que ce lien ne sera jamais rompu.

Beaucoup de personnes deviennent dépressives et avec des tendances suicidaires.

Ce n’est pas la douleur à apaiser, ou à donner tel traitement pour calmer cette dépression, c’est une autre forme d’aide dont elle a besoin. Il s’agit simplement d’un vécu à reconnaître dans sa dimension.

Ne pas vouloir éliminer, mais intégrer la représentation du vécu que la personne endeuillée, de l’intégration.

Créer un rapport

Aller vers sa projection de son vécu et rester neutre et surtout ne pas imposer sa vision. C’est la synchronisation.

Suivre sa logique

Une reconnexion de soi, car cette perte est à multiple facette

Il est nécessaire de faire l’apprentissage de vivre sa vie, sans la présence physique de la personne que l’on a perdue. L’assurance que ce fil du souvenir n’est pas rompu et qu’il vit au fond de la personne.

Franca Gagliardi – octobre 2016